Notes sur l'article de Rehof-Sørensen sur lambda-delta ------------------------------------------------------ (version initiale de septembre 2007) C'est le calcul \-F par nom sans variables libres de continuations et avec F-elim: (1) \x.M N -> M[N/x] (2) (Delta x.M) N -> Delta x.M[\y.x (y N)/x] (3) Delta x.x M -> M (si x pas dans M) (4) Delta x.x Delta _.x M -> Delta x.x M F-lift (2) ne diffère de C-lift' (de Felleisen-Hieb) que par l'absence de A dans la règle de lift (comme chez de Groote). Le calcul ne peut pas accepter F-idem parce qu'il n'y a pas de différence entre les variables de termes et les variables de continuations, et que la règle Delta x.k Delta y.M -> Delta x.M[k/y] ne fait pas de sens en CBN; c'est le problème standard mentionné par Hofmann-Streicher 2002 [Ajout de février 2010]. Toujours est-il qu'il y a CR (même preuve que chez Felleisen-Hieb je suppose) et SR (puisque rien ne parle de la continuation toplevel). Le grand intérêt de cette approche est sa proximité avec les preuves de normalisation de la déduction naturelle classique (où tp est interprété par \x.x). Note (mai 2011): Je n'ai pas pu trouvé de référence à pseudo-classical typing dans la thèse de Murthy 1990. Ne serait-ce pas plutôt sa note au continuation workshop 92 ?